dimanche 28 août 2011

Méthaniers, méthane produit et commercé par nos Armées : EFFETS DE SERRES par nos États eugénistes


Plus des trois quarts de ces émissions de méthane proviennent de réseaux pétroliers et gaziers.

Réseaux pétroliers et gaziers ... Le Canada est l'un des plus importants producteurs de pétrole et de gaz naturel au monde.


Le torchage ou « brûlage des gaz » est l'action de brûler, par des torchères, des rejets de gaz naturel à différentes étapes de l'exploitation du pétrole et du gaz naturel. Les professionnels emploient fréquemment l'anglicisme flaring.

Cette pratique a un double effet négatif, d'une part sous forme du gaspillage d'une ressource naturelle précieuse, et d'autre part sous forme d'émission de dioxyde de carbone (CO2 industrile), principal gaz à effet de serre (GES).
Les exploitants rejettent également du gaz naturel non brûlé (« rejet ») à l'air libre, délibérément ou non ; ce gaspillage supplémentaire aggrave les émissions de méthane, principal constituant du gaz naturel, dont le potentiel de réchauffement global est 23 fois plus élevé que celui du CO2.
  • L'exploitation minière et distribution de combustibles fossiles:

    Là où il y a des combustibles fossiles, il y a du méthane. Du méthane est libéré chaque fois que les combustibles fossiles (charbon, pétrole, gaz naturel) sont extraits du sol. Aussi, pendant n'importe quelle sorte de manipulation (transport par camion ou gazoduc, raffinement…), il y a des dégagements de méthane supplémentaires. En achetant et ou en utilisant n'importe quel combustible fossile comme le charbon, le gaz naturel ou le pétrole vous participez à l’activité qui constitue la source la plus importante d'émissions de méthane dans le monde entier.

Le torchage est déjà ancienne, puisque on en trouve trace dès 1946 aux États-Unis (début de l'Effet de Serres par l'Industrie para-militaire néthanier)

Un méthanier est un navire servant à transporter du gaz naturel liquéfié dans ses citernes. On appelle ces navires aussi LNG (Liquefied natural gas) tankers. Il est livré dans des unités portuaires spécialisées dites « port méthanier »

À travers le monde, on compte, en 2010, environ 360 méthaniers en service.

En 2006 le plus grand méthanier du monde, le Provalys livré à Gaz de France, avait une capacité de 154 500 m3 pour une longueur de 290 mètres, une largeur de 43 mètres, un tirant d'eau de 12 mètres et un tirant d'air de 40 mètres. Les méthaniers se déplacent généralement à une vitesse moyenne de 19 nœuds.

Le GNL ou gaz naturel liquéfié ; le gaz liquéfié occupe 600 fois moins de place que celui qui est injecté dans les réseaux de gaz).
De plus, le gaz est environ 1 000 fois moins dense que le pétrole


La combustion du méthane dans l'oxygène pur produit du dioxyde de carbone CO2 (pollution industrielle) et de l'eau H2O avec une importante libération d'énergie
la fonte du pergélisol des régions arctiques : ce sol gelé en permanence contient d'énormes quantités de méthane, un gaz à effet de serre bien plus puissant que le CO2 ;


Échappements du méthane pollueur

Le gaz naturel a longtemps été transporté uniquement par voie de terre via des gazoducs.

Les gaz des marais sont souvent le fait de la pollution militaire et des déchets et des fuites de gaz découlant de leurs navires méthanier: il s'ensuit la production des micro-organismes, les bactéries méthanogènes.

Les pluies artificielles sont acidifiantes et tuent la vie dans l'eau de sortes que les algues apparaissent et ... Ces anaérobies strictes se rencontrent dans de nombreux habitats dépourvus d'oxygène, en particulier dans les sédiments des eaux douces et des eaux marines, dans les rizières, dans les sources d'eaux chaudes d'origine volcanique (exemple de l'écosystème du Yellowstone National Park), dans le tube digestif de l'homme et des animaux mais aussi dans les stations d'épuration et les décharges. Plus de 50 % du méthane issu de ces bactéries provient des ruminants et des termites des régions tropicales. Les bactéries méthanogènes, strictement anaérobies, conduisent à la production de méthane à partir d'un mélange de gaz carbonique et d'hydrogène. Ces bactéries réduisent le CO2 (ou HCO3 -) en méthane. Cette voie est génératrice d'énergie et couplée à la synthèse d'ATP. Ce métabolisme peut être considéré, de ce fait, comme un exemple d'autotrophie.

Remarque 2 : La production de méthane peut également se faire à partir de la réduction d'autres molécules que le dioxyde de carbone. Les intermédiaires d'oxydation, comme le méthanol ou l'acide formique, peuvent être utilisés. Dans le cas de la méthanogenèse acétoclastique, la réduction se fait à partir de l'acide acétique :

CH3COOH → CH4 + CO2 (∆G0' = - 31 kJ/mol)

Les deux types de méthanogenèse sont liés à des bactéries du groupe des Archébactéries.

Notez que l'une des particularités de ces voies métaboliques originales est le rôle joué par des cofacteurs qui n'existent que chez les méthanogènes. Ces cofacteurs sont sensibles à la présence de dioxygène. De simples traces de dioxygène dans le milieu tuent donc les bactéries méthanogènes.


Le méthane contribue à l'échauffement de l'atmosphère par absorption du rayonnement infrarouge tellurique. L'augmentation de son taux dans l'atmosphère (développement des rizières, augmentation du cheptel bovin) est un des facteurs explicatifs de l'augmentation de l'effet de serre.

Par ailleurs, des quantités importantes de méthane se trouvent au fond des océans




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