mercredi 13 octobre 2010

MENSONGES BRITANNIQUES ET LEURS STATISTIQUES TROMPEUSES

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IMPOSTEURS qui utilisent la statistique qu'à leurs fins

Londres cache les vrais chiffres .... NOS MAIRES UTILISENT LES STATISTIQUES POUR NOUS FAIRE CROIRE QUE TOUT VA BIEN
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Winston Churchill disait “Les statistiques sont la forme la plus élaborée du mensonge”... 



On voit très bien les Continents (sections grises) sur la Lune et on devine les mers qui les entourent (en blanc)
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« Il y a trois sortes de mensonges: les mensonges, les gros mensonges et les statistiques. » Mark Twain
« Les statistiques, c’est comme le bikini: ça donne des idées mais ça cache l’essentiel! » Coluche
-->Le risque de manipulation est d’autant plus grand que les statistiques sont liées à un enjeu politique.

Il n'est pas noble ni à l'honneur des rois/reines/Chefs de diriger des moutons, des esclaves, des insignifiants; on serait tenter de dire ''CHAQUE CITOYEN EST À L'IMAGE DE SES DIRIGEANTS!''..... Alors rendez l'Humanité autonome, saine et bonne et elle vous le rendra infiniment!
Il y a plein d'Hitlers autour de nous, des gens qui sont contre le Partage.
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L'Équité est le contraire de l'ÉGALITÉ: le saviez-vous, la Gratuité pour ce qui est essentiel.
Rien ne doit augmenter sans suivre le POUVOIR D'ACHATS DE TOUS

Nous devenons leurs complices lorsque nous défendons leurs idéologies antifraternelles: équité, méritocratie, vie de combat, concurrencer et non aider,....
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LAVELEYE :
« … L’art de mentir mathématiquement »
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Se donner les moyens de lutter contre différentes formes d'obscurantisme et de mensonges



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Les statistiques les plus dangereuses sont celles qui concernent les données macro-économiques, qui servent de base à la conception des politiques budgétaires, monétaires, industrielles, sociales, etc.

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Le statisticien est un homme qui fait un calcul juste en partant de prémices douteuses pour aboutir à un résultat faux. Jean Delacour
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Edmond et Jules de GONCOURT :
« La statistique est la première des sciences inexactes. »


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un jeu de dupes…
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Voulez-vous faire croire qu'elle monte ? Il suffit de prendre un point bas au début, un point haut vers la fin, puis de dire " la croissance entre janvier et décembre a été de x % ". Ce sera vrai et cela vous permettra de donner une impression fausse.
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Une statistique qui viendrait dire par exemple que ce mois-ci il y eut 50 000 emplois de créés serait mensongère si elle omet de dire aussi qu’en même temps 60 000 ont été perdus
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Les statistiques les plus dangereuses sont celles qui concernent les données macro-économiques, qui servent de base à la conception des politiques budgétaires, monétaires, industrielles, sociales, etc.

Ces fameux "chiffres du chômage"... mais à qui "profite le crime" ?

Ces chiffre ne donnent jamais le nombre "des chômeurs" mais le nombre d'une certaine fraction définie selon certains paramètres qui font malencontreusement conclure presque systématiquement que le chiffre fourni représente l'ensemble de la réalité du chômage, et qu'il y a 2, 3 fois moins de chômeurs que ce qu'en compte réellement le pays. Un glissement dangereux car d'une représentation de l'effectif des chômeurs à 9% de la population active à une représentation à 18% ou plus on peut supposer que l'effet psychologique de la statistique pourrait être différent, et justifier des attitudes différentes de la part à la fois du gouvernement et de la population (attention les pourcentages évoqués ici sont des ordres de grandeurs non vérifiés, fictifs).
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Ces fameux "chiffres du chômage"...

Ce n'est pas nouveau : depuis qu'il est devenu courant d'évoquer un "chômage de masse", qui affecte donc une part importante en pourcentage de la population, divers organismes s'ingénient à le minimiser car il est plus convenable, pour n'importe quel gouvernement, de pouvoir afficher un taux de chômage en baisse qu'un taux croissant.
Ainsi l'on radie, on supprime des listes pour divers motifs des personnes qui n'ont pas retrouvé d'emplois, et qui demeurent donc "chômeurs" (Personne ayant la capacité de travailler, salariée ou non, et qui, à la recherche d'un travail rémunérée, se trouve involontairement réduite au chômage.)
Là encore nous sommes en présence d'un travestissement de la réalité : est-ce acceptable ?
On pourra s'interroger sur cette "qualité humaine" qui conduit à ranger du côté de l'obscur des personnes, une partie de la population, afin de présenter de "bons résultats" qui en fait n'existent peut-être pas, ou ne sont pas si "excellents"...
Il y a peut-être là une question de probité (Rigueur, exactitude appliquée à serrer la vérité, la justesse au plus près) à examiner de près !!!
Mais la "véritable" réalité est bien ce nombre de personnes "ayant la capacité de travailler, à la recherche d'un travail rémunérée qui se trouve involontairement réduite au chômage" : l'artifice ne tient pas, la réalité, les faits, ce qui existe... ne s'encombrent pas d'une quelconque légalité !

Pour des organismes de statistiques indépendants de tous les pouvoirs


Il y a les faits…… et les statistiques politiques


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Dans le livre How to Lie with Statistics , voici un exemple plus parlant de cette arnaque :
  • 1 personne gagne 25 000 €
  • 1 personne gagne 7 600 €
  • 2 personnes gagnent 5 500 €
  • 1 personne gagne 3 458 € (la moyenne)
  • 3 personnes gagnent 3 500 €
  • 4 personnes gagnent 2 500 €
  • 1 personne gagne 2 100€ (la médiane)
  • 12 personnes gagnent 1 400 € (le mode)
Vous pouvez ainsi communiquer que le salaire moyen est de 3 458 € alors que la médiane se situe à 2 100 € et que le mode (la valeur dominante) est lui à 1 400 €
LA DETTE ÉCOLOGIE EST UN PRÉTEXTE MENSONGER POUR FAIRE ACCEPTER LA TAXE CARBONE
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Autre exemple. Les chercheurs du Ministère de l’Education nationale viennent de faire une découverte: les élèves redoublants sont moins bons que les autres ! Plus précisément, les élèves qui ont redoublé réussissent moins bien que ceux n’ayant jamais redoublé ; et c’est d’autant plus vrai que le redoublement est plus précoce. Ainsi, moins de 10 % des élèves qui ont redoublé leur CP obtiennent le Bac, contre 75 % des redoublants de seconde, et 83-84 % des redoublants de Première & Terminale… Et Le Monde de titrer : « Le redoublement accroît le risque d’échec scolaire » ! Il n’est pas venu à l’esprit des auteurs que c’est plutôt l’échec scolaire qui augmente le risque de redoublement…
Le domaine des calculs et des raisonnements statistiques est plein de pièges, d'évidences trompeuses, et même d'arnaques : soyons sur nos gardes
Ceux qui pointent leurs nez dans la politique à tous les niveaux jusqu'à en dénaturer complètement le sens.

Documentaire de Pierre Falardeau ''LE TEMPS DES BOUFFONS''
1985. Pierre Falardeau ---DÉNONCE LES COLONIALISME DES BRITANNIQUES --- il filme le monde où il n'y a plus de possédés, mais que des possédants qui se donnent en spectacle. Dans la grande salle de festin du Queen Elizabeth Hotel à Québec, les masques se posent sur des masques - ceux de l'argent, ceux du pouvoir..... colonisés québécois déguisés en colonisés québécois, garnis de sangliers énormes et d'autres gibiers à poil et à plumes. La table est en fête.
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Les 7 outils classiques pour manipuler les chiffres

Omettre les données qui nous gène du calcul : le plus commode. Je veux montrer que j’ai atteint l’objectif de chiffre d’affaires que l’on m’a fixé. Je montre le chiffre d’affaires total et j’omets les dépenses supplémentaires à la normale qui ont été nécessaire pour l’atteindre. Celui qui ne vérifie que la formule de calcul n’y verra que du feu.
Choisir la formule qui nous avantage : moyenne, médiane, mode : le choix ne manque pas.
Changer de formule lorsque le vent tourne : une combinaison des points précédents. Le marché baisse ? Modifions la formule pour lisser les variations à la baisse (ne vous inquiétez pas, nous changerons la formule lorsque le marché repart à la hausse pour en amplifier le mouvement).
Changer de données lorsque le vent tourne : Si modifier la formule ne suffit pas, nous modifierons aussi l’échantillon. Nous trouverons un critère, peu importe lequel, pour exclure les données qui ne nous avantagent pas. Par exemple pour un calcul d’un indice à la consommation, je peux décider de sortir le coût du logement parce que je décide que le logement ne se consomme pas, ce que l’on appelle aussi « chercher la clé au pied du réverbère ».
Faites un sondage : c’est la rolls de la manipulation. Vous maitrisez la formule et les données. Le top ! Qu’est-ce a commandé le client déjà ?
Saisonnalité : les chiffres des ventes en matière d’immobilier ou ceux du tourisme sont soumis à ce que l’on appelle de la saisonnalité. Ainsi, des schémas récurrents se reproduisent chaque année et au lieu d’avoir un nombre régulier de vente chaque mois, nous avons plus de ventes au printemps et moins en hiver. Évident une fois que c’est dit, cela reste un formidable outil pour annoncer tantôt le chiffre brut et tantôt un chiffre corrigé de la saisonnalité.
Échelles : jouer avec les échelles des graphiques, c’est magique. Vous voulez montrer que les salaires dans la fonction publique sont maitrisés et que les dépenses sont stables ?
Prenez une échelle qui part de 0 et les dépenses mensuelles (en millions d’euros) sur 2 ans et vous aurez une petite courbe qui oscille légèrement.
Vous voulez montrer que les salaires progressent ou que les dépenses explosent ?
Prenez les dépenses mensuelles sur 10 ans et choisissez comme point de départ le premier montant identifié et vous aurez une courbe à la croissance impressionnante.
-->LA CONCURRENCE AUGMENTE LA PAUVRETÉ : PROUVÉ PAR LES STATISTIQUES
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Dans Le Grand Truquage, un ouvrage rédigé collectivement sous le pseudonyme de Lorraine Data, ces professionnels démontrent combien les chiffres peuvent masquer la réalité plutôt que l’éclairer. Qu’il s’agisse de pouvoir d’achat, de salariat ou de chômage, l’ouvrage dévoile des manipulations qui ne peuvent qu’intéresser les syndicalistes cadres. Pour agir efficacement sur le terrain social, mieux vaut se garder du fétichisme des chiffres, prendre du recul et retrouver le sens du réel !

Ne soyons pas naïfs ! L’exploitation des statistiques à des fins de communication politique ne date pas d’aujourd’hui, ni même d’hier. Elle se confond avec l’exercice même du débat public. Toutefois, elle prend aujourd’hui une acuité particulière. « Polémiques récurrentes sur les vrais chiffres du chômage, affrontements politiques sur le thème de la vie chère et de la véritable évolution du pouvoir d’achat […], l’usage des statistiques dans le débat politique soulève aujourd’hui au moins autant d’interrogations qu’il apporte de réponses. Si tout le monde s’accorde à considérer que l’évaluation chiffrée des politiques publiques constitue un progrès démocratique, chacun pressent que, du coup, la production statistique est devenue un enjeu politique en soi », avertissent les auteurs du Grand Truquage. Dès lors, il est urgent pour le citoyen - et singulièrement pour le citoyen actif qu’est le syndicaliste cadre - d’apprendre à décrypter les techniques de manipulations les plus courantes.
Accommoder les chiffres : quatre techniques

Les auteurs distinguent quatre techniques principales permettant d’accommoder les chiffres et qu’il est bon de connaître. Pour ne pas se laisser abuser !

1. Ne retenir que ce qui arrange. C’est la technique « la plus prisée car probablement la plus facile à mettre en œuvre ». Elle consiste à « sélectionner parmi les différents indicateurs possibles celui qui évoluera dans le sens souhaité et à ne plus communiquer que sur lui. ». Pour la déjouer, il faut agir comme les bons journalistes : croiser les données, ne pas se fier au seul communiqué de presse mais aller à la source de l’étude. En d’autres termes, il faut regarder derrière la vitrine !

2. Utiliser un indicateur « écran ». Il s’agit de choisir un angle de vue qui masque l’essentiel. Exemple : « Un indicateur comme l’indice des prix, en focalisant l’attention sur une moyenne, se révèle n’être un indicateur pour personne, justement parce qu’il veut être une mesure pour tous », remarquent les membres du collectif Lorraine Data. C’est pourquoi ils plaident pour la mise en place d’indices variés permettant de suivre les diverses catégories de ménages ou de salariés. En effet, chacune peut évoluer de manière différenciée. Ainsi, en certaines périodes, les cadres peuvent voir leur situation se dégrader alors que les salariés dans leur ensemble connaissent une embellie.

3. Changer la façon de compter en gardant apparemment le même indicateur. Cette technique consiste à modifier la façon de « piloter les données administratives à la base de certains indicateurs ». Cette méthode est bien sûr particulièrement prisée pour agir sur le taux de chômage. Le procédé est connu. Il suffit de « sortir certains demandeurs d’emploi hors des catégories utilisées pour les statistiques du chômage » pour que celles-ci baissent comme par magie. Face à de telles pratiques, il est capital que des organisations comme les syndicats maintiennent l’ancien mode de calcul. De la sorte, la mise en perspective restera possible.

4. Faire dire à un chiffre ce qu’il ne dit pas. Il s’agit d’interpréter un chiffre de façon volontairement erronée, notamment en le prenant pour ce qu’il n’est pas. Ainsi lorsque les politiques confondent « les statistiques relatives à l’activité de la police et de la gendarmerie avec une mesure du niveau effectif de la délinquance ». Autre exemple : lorsque l’on feint de croire que l’augmentation du salaire horaire entraîne une hausse générale des revenus. Vision fausse, puisque l’explosion du temps partiel et des emplois de courte durée bien connus des professionnels du conseil entraîne en réalité une certaine paupérisation.

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Deux exemples : pouvoir d’achat, chômage

L’ouvrage fourmille d’exemples de travestissement de la réalité, notamment en matière de pouvoir d’achat, de chômage et d’heures supplémentaires.
Pouvoir d’achat : le grand camouflage. Les auteurs observent que le débat sur le pouvoir d’achat a été abordé sous l’angle de l’inflation et des prix. « La question de l’évolution des revenus et de leur distribution a été largement escamotée. » Dommage. Car elle aurait permis de mettre en évidence deux phénomènes majeurs. Le premier est l’accroissement des inégalités, puisque, « entre 1998 et 2005, les revenus des 1 % de foyers fiscaux les plus riches (soit 350.000 contribuables) ont augmenté de près de 20 %. Pour les 0,01 % des foyers les plus riches, cette hausse a été plus de deux fois supérieure (42,6 %). Sur la même période, l’augmentation des revenus a été de moins de 5 % pour les 90 % des ménages aux plus bas revenus ». Le second phénomène escamoté est la dévalorisation avancée du travail salarié. En effet, toujours entre 1998 et 2005, « les revenus de capitaux mobiliers ont augmenté en pouvoir d’achat de 31 %, les revenus fonciers de 16 % contre 5,3 % pour les salaires ». Il y a donc bel et bien une dégradation des conditions de vie pour les personnes qui tirent leurs revenus de leur travail.
Chômage : petits arrangements entre amis. Le collectif Lorraine Data revient aussi sur les manipulations affectant le taux de chômage. Il souligne ainsi que nombre d’innovations dans la façon de gérer les demandeurs d’emploi « ont l’avantage de les sortir des catégories utilisées pour les statistiques officielles du chômage ». C’est notamment le cas des licenciés économiques signataires de conventions de reclassement personnalisé, des signataires du contrat de transition professionnelle, des demandeurs d’emploi bénéficiaires de petits boulots aidés par l’État. « Tous sont priés d’aller voir hors des catégories utilisées pour les statistiques officielles, dans la catégorie 4, avec les personnes malades, en formation et les femmes enceintes, ou dans la catégorie 5, avec les personnes ayant un vrai travail », concluent les statisticiens.
Contre le fétichisme des chiffres

Ces manipulations posent aussi la question, plus fondamentale, de la place croissante du chiffre dans le débat public. « Dans notre société hypermédiatique, remarquent les auteurs, il faut savoir délivrer un message en vingt secondes, donc prendre le risque de dire des choses simples sur des sujets souvent complexes et dans un langage qui n’est pas toujours rigoureux. Dans ce contexte, il n’est pas étonnant que la dictature du chiffre rôde sur les plateaux et que la plupart des intervenants du débat public continuent de croire ou de faire semblant de croire que les chiffres “parlent d’eux-mêmes”. » Or, il n’en est rien. Même exemptes de manipulations, les statistiques peuvent être trompeuses ou hermétiques, notamment en matière économique et sociale où elles sont si nombreuses. Il est donc capital de les décrypter, de les interpréter et de les intégrer à un discours réaliste et cohérent. Ce rôle échoit aux organisations syndicales qui doivent, comme la Fieci, le prendre très à cœur. Il est en effet indispensable au bon fonctionnement de la démocratie sociale.

-->La dévalorisation masquée du travail salarié - « Le travail salarié s’est fortement dévalorisé depuis trente ans. La comparaison de différents indicateurs simples permet de l’illustrer. Depuis 1978, calculé en euros constants, le niveau de vie moyen a augmenté de 750 euros par personne et par mois, soit une hausse de plus de 40 %. Dans le même temps, le revenu salarial, c’est-à-dire ce que gagne en moyenne un salarié travaillant dans l’année, a stagné. L’écart entre les deux a triplé en trente ans, passant de 350 euros par mois en 1978 à 1.100 euros en 2007. »
Le Grand Truquage, op. cit. p. 43.

L’explosion des inégalités - « La question du pouvoir d’achat a été détournée de sa dimension majeure : celle des inégalités de revenus. Le brouillard statistique qui a enveloppé cette question depuis une vingtaine d’années a non seulement occulté la montée des inégalités mais aussi permis de passer sous silence la dégradation considérable du niveau de vie des salariés. L’œil rivé sur les évolutions conjoncturelles, on risque de passer à côté du déficit structurel de pouvoir d’achat qui a gagné depuis une trentaine d’années des couches de plus en plus larges de la population. »
Le Grand Truquage, op. cit. p. 42.
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Ils sont incapables de se libérer de leurs dépendances, de leur vanité et....
Autres preuves que Londres manigance tout

LES ARISTOCRATES britanniques AVAIENT BESOIN DE PAYS PROLÉTAIRES À EXPLOITER

MARX : ESPION BRITANNIQUE
KARL MARX
SIONISTE Juif Allemand
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MARX N'ÉTAIT MÊME PAS RUSSE
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ET OUI
KARL MARX ÉTAIT UN ALLEMAND
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Osti qu'on fait rire de nous
tellement on est incapable de voit les évidences

Il faut vraiment être stupide pour suivre des ordres à la lettre sans les questionner et sans exprimer sa pensée..... et tout ça par peur et pour conserver son job de B.S.-militaire. Ils ont toujours de l'argent pour la guerre (et pour que les pauvres soldats s'entretuent et tuent des civils) mais pas pour éliminer la pauvreté!
Tant qu'on subira une économie mondiale de la concurrence et qui oblige les pays à s'entre piller au lieu de s'entraider: ce sera une guerre permanente entre les humains pour survivre minablement...... et les militaires paraîtront et agiront mal. Lorsqu'on aura une Économie du Partage entre les Pays, là ...... ca va être merveilleux pour tous..... et les soldats auront une belle vocation !
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LA COURONNE BRITANNIQUE CONTRÔLE TOUT avec son Armée ''Américains'', et se met ainsi à l'abri de tous soupçons et de toutes accusations (stratégie géopolitique afin de gouverner sans inquiétudes)En voici des SCOOPS et des PREUVES

Dernier avis aux dirigeants mondiaux de Londres

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